Paradoxes et vents contraires.

De part en part le glaive me traverse..

Illusioniste en mal d'inspiration qui râle et souffle à mon oreille tel un crotale prêt à croquer..

Poire, pive, fève, pomme et choléra, pieuvre qui s'enroulent, contreignent lacèrent étranglent et vocifèrent, proie facile.

Jusque là je me croyais dans le bain, mais l'océan est plein de rebuts, quitter la terre nourricière après l'avoir envahie d'excès de folies prédatrices, soupe de plastiques dans laquelle il faut subir ce que l'humain idiot et toujours plus avide de détruire, piller, salir, tuer et abîmer tout ce qu'il touche. 

Il faudrait savoir, revirement, interface, nouveaux mouvements qui naissent, tentations de surgir de nulle part.. il est trop tard.. finir en beauté.